Nous sommes étonnés que nous n’avons pas rencontré aucun des projets de [Robert Murray-Smith] avant. En regardant à travers sa collection de téléchargements YouTube prouve qu’il est un chimiste amateur très actif (nous supposons que c’est un passe-temps, car il effectue l’expérience dans une jarre de mayonnaise). La vidéo que nous proposons aujourd’hui est d’environ dix minutes de sa technique pour synthétiser du graphène. La vidéo peut être vue après la pause. Soyez averti que l’audio ne se synchronise pas avec la vidéo, car il a surduré la présentation pour fixer la mauvaise qualité audio de l’original.
Le graphène est quelque chose d’un composé-du-jour lorsqu’il s’agit de la recherche électronique. Vous vous souviendrez peut-être de lire sur l’utilisation de brûleurs de DVD pour faire du film graphène qui ira à penser comme des super-condensateurs pour remplacer les piles. [Robert] commence son processus avec un pot d’acide sulfurique à 98% et à 75% d’acide phosphorique. Il coule dans du graphite en poudre (les proportions chimiques sont essentielles ici) et lui donne un tourbillon. Suivant, un permanganate de potassium est ajouté sur environ cinq ou dix minutes. De là, il va sur la plaque à remuer pendant trois jours d’agitation constante. Pendant ce temps, le service ira du vert au brun, indiquant la présence d’oxyde de graphène.
Il va à partir de là, mais il est clair qu’il n’a pas trouvé de route à repasser sur son but d’isoler le graphène à utiliser pour construire des choses comme ces super-capciteurs que nous avons discuté plus tôt. Si vous avez un laboratoire domestique et un peu d’intérêt peut-être que vous pouvez contribuer à ses efforts.
[Merci Bruno]